Ensuite, retour au Grand Bazar, question de voir s'il n'y a pas quelque découverte à y faire. Magasiner au Grand Bazar n'est pas facile pour qui n'a pas l'habitude du marchandage. Aucun prix n'est affiché. Il vous faut absolument demander au vendeur qui fait tout pour vous retenir sur les lieux. Dès que vous regardez quelque chose plus de deux secondes, on vous interpelle pour entrer dans l'établissement. On vous propose un objet pour 240 lires turques et, si vous faites mine de quitter les lieux, le même objet vous est offert à 100 lires turques. J'imagine que l'on s'habitue rapidement à ce jeu de négociation et à cette façon de commercer.
Au retour vers l'hôtel, je me suis dit que je passais peut-être pour la dernière fois sur cette fameuse rue dont les trottoirs sont accaparés par les boutiques de quincailliers. Très pittoresque. Comment ai-je pu résister à l'achat d'une perceuse ou d'un siège de toilette.
Sur le trottoir tout près de notre hôtel |
Les articles de quincaillerie qui encombrent le trottoir |
Même si le voyage se termine demain, restez quand même branchés. Je publierai un dernier message après le retour au pays, jeudi le 4 octobre.
Bon retour.Merci de nous avoir fait partager cette petite randonnée pas trop loin de chez-nous.....
RépondreSupprimermarcel et line