Après le petit déjeuner, nous nous sommes dirigés vers l'Opéra, pas très loin de l'hôtel. Une fois là, nous avons opté pour un tour guidé (en français) disponible à 15 heures. Nous avons ensuite cheminé vers le Parlement, mais avons bifurqué vers l'église Saint-Stéphane. Beaucoup de touristes, au moins six autobus. Ouf! Nous sommes quand même entrés et sommes montés sur l'observatoire qui ceinture le dôme. Il faut monter plusieurs escaliers en spirale, mais une fois là, la vue à 360 degrés sur la ville est impressionnante.
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L'opéra de Budapest |
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L'église Saint-Stéphane |
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Vue de Budapest à partir du dôme de l'église Saint-Stéphane |
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L'église Saint-Mathias vue du dôme de l'église Saint-Stéphane |
En chemin vers le parlement, un petit parc s'offrait à nous. Dans une section de celui-ci, un monument à la gloire du libérateur soviétique était entouré de clôtures. J'ai supposé que c'était pour éviter le vandalisme. C'est le seul endroit où des clôtures protégeaient un monument. Un peu plus loin, une statue surprenante de Ronald Reagan, sans aucune autre explication.
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Ronald Reagan |
Rendus au Parlement, nous nous sommes contentés d'en faire le tour par l'extérieur. La file de visiteurs était beaucoup trop longues et l'attente nous aurait fait perdre une partie de la journée. Nous sommes donc dirigés vers l'église Saint-Mathias, sur l'autre rive, via le fameux pont à chaînes. Malheureusement, l'église était en rénovations et nous n'avons pas pu pleinement apprécier la beauté intérieure des lieux.
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Le pont à chaînes |
Mais le clou de la journée, c'est peut-être le tour guidé de l'
Opéra de Budapest. Impressionnant! À mon humble avis, cet opéra, bien que plus petit que celui de Vienne, est beaucoup plus beau. La princesse Sissi y venait régulièrement et s'assoyait toujours dans une loge à l'avant pour bien se faire voir.
Finalement, nous nous sommes peut être trompés en réservant un concert à Vienne, plutôt qu'à Budapest. La visite guidée s'est terminée par un mini-concert dans la salle réservée autrefois à la noblesse. J'insiste sur le mot «mini», puisque nous avons eu droit à deux arias d'une durée totale de tout au plus dix minutes. Mais quelle voie puissante. J'ai même eu une petite frousse lorsque la cantatrice, sur un air de La Traviata est venue chercher mon troisième voisin pour danser devant tout le monde. Julien était encore plus près. Ouf!
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